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Belle

Adaptation du texte de Jean Luc Plamondon
Notre Dame de Paris (Belle)
En palindrome de voyelles hormis le e


Le bête

Belle c'est le verbe rêvé, engendré d’elle
Elle crée des gestes et révèle l’envers de ses effets
tel l’éphémère étend ses pennes vers l’éther,
Je sens l’enfer enlever terre et me perdre.

Je ne cesse de rêver de ses belles fesses
Je perds l’empressement vers Mère Éternelle
Cet être présent rejette cette femme
Cette terre n’est l’Eden de cet être.

Belzébhé,
Me prêtes ce temps,
Et je lèche les lèvres de cette femme

 

Le prêtre

Est ce le déchet de l’Eden entré en elle,
Mes pensées ne s’élèvent vers le Père Éternel
Mon être espère et s’éprend de cette femme
Et je reste enfermé en cette Terre.

Elle mène en elle le péché des femmes
L’espérer, cet être, me rends pervers ?
Cet engendrement déréglé de ces femelles
Revêt le géhenne de cette terne terre

Mère Éternelle
Dépêtre ce prêtre
Je cherche l’entrée de l’Eden de cette femme.

 

 

 

 

 

  
  
    

Elle

Elle reste éternellement et extrêmement belle cette femme.

Même ses élèves rêvent d’elle.
De ces rêves créés les lèvres légèrement relevées et les dents serrées.

Hélène c'est le terme réel. C'est Elle, Hélène.

Certes, qu'elle est belle.

Elle se présente elle-même ferme, sèche et réservée, et légèrement sévère.

Elle revêt des effets verts et légers : c'est l'été, le temps est clément.
Chez elle, c’est vert : télé, verres et fenêtres, c’est excellent !

En pensées : elle est verte

En effet, elle s'est dressée envers les déchets des centres.
Ces déchets émettent des rems : c'est le décès en terme d’effet.

© PIY